Libé consacre un très bel article à Eric-Emmanuel Schmitt le lyonnais. L’occasion ? Gérard Collomb lui a remis la médaille de la ville jeudi dernier. Une reconnaissance tardive de la part de Lyon comme le titre le journal. Comme pour d’autres de ses écrivains d’ailleurs, morts – Antoine de Saint-Exupéry (statue édifiée seulement en 2000 place Bellecour), Louis Calaferte – ou bien vivants, Charles Juliet, Eric-Emmanuel Schmitt.
A travers l’article ressort à la fois un portrait de Eric-Emmanuel Schmitt et l’un des traits marquants des lyonnais : la pudeur de caractère.
La conclusion de l’article est vraiment belle.
Voici donc un bon prétexte pour entrer dans l’oeuvre de cet écrivain de récits, de romans, de théâtre (très joué) et adapté au cinéma.